Chien jaune
Je ne me consolerai pas, chien jaune, d’avoir
poussé si fort pour te renverser et te battre,
et faire taire celui des deux dans le noir
qui annonce les gémissements et le goitre
de l’aube inepte dans le grippage inhérent
à l’existence de ce gyrophare H.S.
à la folie exocrine de constamment
comprimer l’air dessous les fusées de détresse.
J’ai sans doute les échos des coups répétés
ou bien la même rouille restée de t’entendre
grincer dans le silence hypertrophié
de t’avoir mis à l’abri de mes dérapages.
Depuis, dans la peau d’un autre couvert de cendres,
je suis toujours étendu sur le carrelage.
vos mots touchent …frappent…